agua verde y verdor claro tu carne
tu rumoroso pelo embravecido
y el bosque de tu risa palpitante.
Pedro Garfías,
Primavera en Eaton Hastings
Ta bouche comme un bois ombreux,
palpitant, entre les troncs des
dents en circulade, Carnac d'ivoire
enivré, avec ses recoins où se replie
ta pudeur, moussue, et ce palais,
voûté où résonnent les langues
qui alternent, dialoguent, se battent
puis s'unissent, quand le repos te mord,
avec un peu de sang entre les lèvres.